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Lily's univers

13 novembre 2018

Fiche des personnages Doctor Who

FICHE DES PERSONNAGES

DOCTEUR WHO

 

Prenom: Naely

Nom: Blown

Photo:

                                     

Âge: 17 ans

Particularitées: Toujours trés élégante.

Description: Cheuveux au carré bruns, yeux bruns. Assez maigre et de taille normale.

Nationalitée: Anglaise

Caractére: Plutôt sage. Pas trés courageuse et elle à peur des araignées.

Signature: N

Prenom: Docteur

Nom : ?

Photo:

Âge : 203 ans

Particularitées: Il a toujour un tournevis sonique sur lui et un grand manteaux noir.

Description: Cheuveux courts gris, Yeux bruns, maigre et grand.

Nationalitée: Galifrayen

Caractére: Tétu, plein d'humour, il n'a peur de rien.

Signature: D.

 

Prenom: Tonny

Nom: Felton

Photo:

Âge: 18 ans

Particularité : Il correspond toujours à la mode du jour.

Description : Cheveux blonds foncés, yeux bleux. Musclé et grand.

Nationalitée: Anglais, Canadien.

Caractére: Gentil, mais il ne fait pas de blagues. Sa seule peur est qu'on ne l'aime plus.

Signature: TF

Prenom: Dezartyuin

Nom: Frankuiz

Photo:

Âge: 343 ans

Particularité : Il a des superpouvoirs d'électricité et il voit dans le noir.

Description: Il a des sortes d'anténnes deux de chaque cotés de la tête, un grand visage. Il mesure 2, 08 m et il est trés maigre.

Nationalitée: Extraterestre de la planéte Dezug

Caractére: Arrogant, sérieux, il a juste peur de la plus grande des Seigneurs Du Temps, Jeliny Deer.

Signature: DF

 

 

Prenom: Dellya

Nom: Delouoy

Photo:

 

Âge: 14 ans

Particularité: Sa beautée ne resiste à personne.

Description: Cheuveux carrés roux-blonds, yeux bleu, de taille normale et de poids normal.

Nationalité: Ecossaise.

Caracére:  sérieuse mais gentille, elle dit avoir peur de rien mais elle a peur des serpents, araignées, du feu et du noir. Un rien peut l'affrayer.

Signature: Dede

 

 

 

 

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28 octobre 2018

LE TEMPS DES SAMOURAIS 3

 LE TEMPS DES SAMOURAÏS

Le secret d'Hiko

 

CHAPITRE 3 L'ÉCOLE DES SAMOURAïS

 

Des Shetaïes  ? Je n'ai jamais entendu parler de ça. La fille me regarde comme si la question était idiote et la réponse évidante. J'hausse les épaules.

- C'est quoi ?

- Regarde, me dit une des filles, une des plus célébres Shetaïes qui soit.

Elle sort un bout de papier froissé et me le mets sous le nez. Dessus, une jeune dame est peinte. Elle a de longs cheveux dégoulinant sur un somptieux kimono vert émeraude au bords dorés. De petites fleures rouges et bleues son brodées sur le bas du kimono. Un obi orange-rosé est sérée sur sa taille, et un éventail orangé repose dans la main de la jeune femme. Elle à tout l'air d'une dame de famille haute placée. Il y a un seul détail étrange : un sabre de samouraï pend à son obi.

Je regarde mon propre kimono, taché de boue et de sang et je me dit qu'il y a du travaille pour que je devienne comme ça ! La fille qui avait la peinture range celle-ci profond dans son hakama.

 - Allez, maintenant, au travaille ! Déclare-elle.

Les trois filles aciesent et deux d'entre elles vont vers une étagére. La troisième me designe une porte au fond de la salle que je n'avais pas vu. Je me dirige vers cette direction et arrivé devant, j'ouvre la porte. Une bouffée de vapeur en sort et je distingue des bassins d'eau. Je jette un regard interoguateur à la fille. Elle hoche la téte. Je comprends qu'il faut que je me lave. Alors, je pénetre dans la piéce faiblement éclairée. Je me deshabille et pose mes vétement dans un coin. Je regarde autour de moi, me demandant par ou il faut commencer. Puis, j'apérçoit une fléche qui indique une grande bassine d'eau froide avec un flacon de bois posé sur un bord. Je mets un pied dedans et je m'aperçoit que l'eau est terriblement froide. Tout  en clacant des dents, je me dépéche de rentrer  entière dedans, de m'étaler un peut du liquide qu'il y à dans le flacon sur le corp, et de sortire du bassin. Ensuite, je suis la deuxiéme fléche qui m'indique un bassin plus grand, remplit d'huile. Je m'y trempe un orteille et plonge dedans. Il est chaud et agréable ! Aprés m'étre bien réchaufée, je prend une serviette de tissu blanc, m'enroule dedans, et sort. Les filles m'attendent autour d'un petit tabouret.

- Ha, te voilà ! Lance la fille qui m'a montrer les bains, viens par là.

Je m'approche. Quand j'arrive vers elles, elles m'enfile un kimono couleure mousse et un obi gris. Aprés, elles m'assoit sur le tabouret et se mettent à me coiffer et me huiler les cheveux. En dernier, elles me font mettre des chaussettes blanches et des getas, des chaussures de nobles.

- Tu es préte, déclare une des filles, maintenant, en avant vers l'école des samouraïs !

 

26 octobre 2018

Le temps des SamouraÏs 2

LE TEMPS DES SAMOURAÏS

Le secret d'Hiko

 

CHAPITRE 2 LA MAISON DES SHETAÏES

 

-Quoi ?! Je hurle, Mais...

- Pas si fort, Tatsu !

Quoi, pas si fort ? Coment je peux crier pas si fort quand on me fais une telle révélation ? Maman m'as trahit, mentit, entourlouper, point à la ligne.

Je ne m'attendais pas du tout à ça. Pourquoi veux-t'elle me vendre ? Me vendre à qui ? Pour toujours ?

Des milliers de questions fourmillent dans ma tête, ainsi que la rage et la tristesse. Je regarde maman par un interstise entre deux larmes. Elle me regarde aussi, d'un regard grave et désolé.

- ...Mais pourquoi tu me fais ça ? Tu...tu m'as dit qu'on devait aller faire quelque chose, et pas que tu allais me vendre ! Je reprend à peine moins fort.

De nouvelles larmes coule sur les joues pales de maman. Je sens qu'elle respire difficilement.

- Ma chérie, Je...Écoute, notre famille meurt de faim et... et ton frére est malade. Je vais te...te vendre car tu rapportera au moins 90 yen, de quoi payer un cheval !Mais...dis t...toi bien que je t'ais choisie parce que personne n'aurait voulu d'un enfant tout petit et malade ou d'une adolescente de dix-sept ans.

Je veux répliquer mais à ce moment, un bruit de sabots se fait entendre. Maman regarde  par dessus mon épaule et je me retourne. Un homme dessant d'une charette ou plutôt d'une cage sur roues tirée par des chevaux. Maman me pousse vers lui et s'incline. L'homme baisse vaguement la téte et me desinge d'un doigt boudiné.

- C'est elle ? Fit-il, Voyons voir...

Il s'approche de moi et m'examine des pieds à la téte en marmonnant:

- Bonne carrure, yeux trés bleus, taille normale, doigt fin...Hum...

Il se tourne vers ma mére et hoche la téte. Celle-ci  l'interoge du regard. L'homme parait réfléchire. Au bout d'un moment, il dit:

-Mouais... je peux peut-être en faire quelque chose....Ho oui ! J'ai trouver !

L'homme parait d'un coup content de lui. Sur ses lévres se dessine un sourire triomphal.Il fouille dans sa poche surement à la recherche de sous pour payer maman.

- Votre fille est parfaite de chez parfaite  ! Okasan va étre ravie ! Il crit.

Il sort une piéce de 100 yen et une autre de 200. Maman à l'air scotchée et d'ailleur, moi aussi. Ai-je autant de valeur ? Puis, je me rappelle que cet argent, c'est en échanche de moi. Soudain, je sens une goutte tomber sur ma main. Il pleut. L'homme me  me prend par le bras et m'entraine vers la cage sur roues. J'essais déséspérement de  me debatre, en vain. Une fois dans cette drôle de cage, je regarde maman, dehors. Une tristesse infinie s'empare de moi quand maman fais demi-tour.

 

                                                                        *

Dans la cage, la pluie ne m'épargnait pas. Je suis contente d'arriver à destination, ou pas. Ensuite, l'homme m'eméne dans un détroit de rues étroites. À un moment, il me fait monter dans une charette tirée par un esclave. J'en ai déjà entendu parler: c'est un Pousse-pousse. On arrive en deux minutes devant une Okya au portes de bois foncées. Je n'en avais jamais vu au paravent.Il me pousse à l'intérieur et je me laisse faire car, de toute façon, je n'ai pas le choix. À l'intérieur, trois jeunes filles au kimonos soyeux et aux chinions noirs, avait l'air de m'attendre. Je les salut et elles, elles me sourirent et me firent signe de venir. J'avance prudament et elles m'entrainent vers  une salle illuminée qui reflétent les premiers rayons du soleil. Des tatamis verts recouvrent toute la salle au sol. Des étagéres qui contiennent des ustensils de soins occupe un mur. le mur opposer garde une grande armoire. Les trois filles viennent se mettre devant moi.

- Bienvenu à notre Okya ! Commence l'une d'elle, avant tout, dis-nous si tu as une question.

Je n'hésite pas une seconde, je dit :

- Où suis-je ?

-À une école pour être Shetaïe.

25 octobre 2018

Le temps des SamouraÏs

LE TEMPS DES SAMOURAÏS

Tom 1 Le secret de Hiko

 

 

 

CHAPITRE 1 LA TRHAISON

Il était une fois, dans une campagne prés de Tokyo, une petite fille. Et cette petite fille, c'était moi. Je me souviens bien de ce temps ou je n'était qu'une paysane ordinaire, inconsiente de son destin. J'avais un frére et une soeur. Mes parents était pauvre et survivait de leurs propres légumes.Mais, nous étions plutôt heureux. Maintenant, laissez moi remonter le temps pour vous raconter mon histoire:

Une odeur d'herbe mouillée me reveilla tout d'un coup. Je devine que c'était papa qui venait d'ouvrire la porte de la maison. J'entrouve les yeux et me rappella que maman m'avais dit, la veille, de vite m'habiller et de la rejoindre sur la plaine. Je me redresse et m'étire. Un courant d'air me refroidit quand papa sort. Je me mets sur mes pieds, trop vite, et je fut prise de tournis. Je cligne des yeux et je tourne la téte vers le lit de mon frére, Hayusa, et vit qu'il dort encore. Quand à ma soeur, Kensha, elle à du se lever en même temps que papa et maman pour les aider. Kensha est l'ainée de nous trois: elle a dix-sept ans.

Je secoue la téte en pensant à maman qui devait m'attendre sur la plaine. En écartant les méches de cheveux du mieux que je peux, je me dirige vers la porte. Quand j'ouvrit celle-ci, du vent frais vint emplire mes poumons et agiter le bas de mon kimono. Je regarde en direction de l'est mais le soleil n'est pas levé. Au loin, j'aperscoit la silhouette  de papa qui travaille au champs  et celle, un peu plus petite, de Kensha qui l'aide. Je contourne la maison et monte la colline qui méne à la plaine. Là, maman se tiens debout regardant droit devant elle, les mains sérrées sur ses genoux. Je m'approche et maman tourne la tête. Elle me sourit et me fait signe de venir plus prés.

- Bonjour Atsu ! Comment va-tu ? Dit-elle en essayant d'avoir un air dégagé.

Je sent que quelque chose ne tourne pas rond. Néanmoins, je réponds:

- Bien. Mais pourquoi tu m'as demander de venir ici ?

Maman parait réflechire à toute vitesse. elle ouvre la bouche, puis la referme.

- Hé bien... je voulais aller en ville pour... pour faire quelque chose et... et je me suis dit que tu pourrais m'accompagner, ça serait l'occasion que tu découvre un peut là bas.

Je hausse les épaules pour faire mine que je la croit. Mais c'est évident, elle me ment.

Nous nous métons donc en route vers la ville de Tokyo. Méfiante, j'avance lentement, et regarde autour de moi. Que me cache maman ? Les maisons se rapprochent petit à petit et au bout d'un moment, on emprinte une grande route qui rentre dans la ville. Toutes ces maisons, ces immeubles en pierre grise ou marron... Franchement, je prefére ma  petite maisonette de bois couleur terre. À un moment, maman tourne au coin d'une rue légérment plus étroite et s'arréte. Je la regarde, pérplexe, l'air de dire : Et qu'est-ce qu'on fait, maitenant ?

-Attendons ici. Fit maman.

- Mais on attends quoi ?! Fini-je par dire, tu me le diras, un jour ?

Maman me regarde et éclate en sanglots.

- Atsu...je...je d...je dois te vendre.

 

 

14 octobre 2018

LE JOUR D'OSCAR 2

                                         LE JOUR D'OSCAR

CHAPITRE 2 MES AMIS

À la récréation, moi et Ben, on s'assit sur un ban de la coure .Devant moi, était disposé une marelle et des ballons de foot qui furent vite prit par des 4iéms pour faire un mini-matche. La coure de récréation devait faire a peut prés 6 m de longeur et 8 de largeur.

- Je vais te présenter mon amie, elle est trés gentille. Me dit Ben. Émie viens !

Une fille a la chevelure de feu s'approcha et me  scruta de son regard bleu.

- Bonjour, mon nom est Amélia Ponte et toi ? Demanda t'elle.

Je ne savais pas quoi dire: allait-elle me prendre pour une fille ? Ou rigoler en apprenent mon nom ? Je n'avait pas le choix: je devait me transformer en vrais garçon ou en vrais fille mais pas réster entre les deux. Un enfant de onze ans, a moiitiée fille et a moitiée garçon, qu'alait-on pensé de moi ? Mais de toute façon si je voulais étre ami avec Amélia, je ne pouvais pas lui mentir.

- Oscar. Je m'appelle Oscar et je suis un garçon. Tentai-je.

- Que veux tu étre d'autre qu'un garçon ? Me surpris Amélia.

-Benh...Je ne resemble pas a une fille ?

-Non. T'a quel âge ? Moi j'ai 12 ans. Dit'elle.

 - Heu...11 ans. Mais t'es sure que je ressamble pas rien qu'un tout petit peut à une fille ? Fis-je.

Amélia haussa les épaules.Apparament, elle, elle ne pensait pas comme les autres: Méme mes parents trouvaient que je ressamble vachement à une fille ! Mais bon, tant mieux. J'aquiesca. Soudain, la sonnerie retentie longuement. Les 4 iémes se figérent et le garçon qui tenait le ballon coincé entre ses pieds shoota  péniblement dedans. Plusieurs éléves soupirérent d'un air déçu. Amélia jetta un regard à moi et à Ben, puis se retourna, fesant onduler ses longs cheveux roux. Je regania lentement la salle de cour, suivi de Ben.

Les trois autres heures de cours se passérent sans encombre.

Le soir, dans mon lit, je passa en revue de touts les moments de la journée et j'en déduis que c'était bien mieux que ce à quoi je m'attendais: j'avis enfin trouver deux personnes qui ne se moquaient pas de moi.

 

 

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14 mai 2018

LE JOUR D'OSCAR

                                        LE JOUR D'OSCAR

Chapitre 1 C'est mon nom.

 

 

Je m'appelle Oscar et j'ai 10 ans. J'ai une soeur et mes parents son divorsés. Tout le monde me prend pour une fille acause de mes cheveux blond,long et bouclés, de mes paumettes, légérement rosies et surtout de mes yeux, d'un bleu marine au reflets verts. C'est pourquoi  a chaque fois qu'on me voyait on me disais "Ho la jolie jeune fille !" et jusqu'a présent, tout le monde me traitait de fille. Aujourd'hui, je vais a ma nouvelle école, a ST-Étienne ou habite ma maman, Soléne. Avant de partire, je passe devant la glace pour essayer de me transformé un peux plus en  garçon. Mais j'amais au paravant j'avais eu aussi peur qu'on me prenne pour une fille. Sur le chemin de l'école, je baissais évidament les yeux éspérent qu'on trouve que j'ai plutôt l'air d'un garçon, mais comme d'habitude aucun résultat meilleure. Arriver devant le portail de l'école, je tomba fase a une dae qui devait étre l'atseme.

- Bonjour, quelle est ton nom jeune fille ? Demanda t-elle.

- Heu...Je m'appelle Oscar Sertuy. Répond-je éspérent que l'atséme me considére en garçon. Elle feuita sa pile de feuilles, les sourcils froncés.

- Hummm...Oscar c'est un drôle de nom pour une fille... Mais il y a un Oscar Setuy. Tu ne serais pas...Un garçon ?

- Ben si mais  personne ne veux me croire quand je dit ça ! Dis-je. La dame eu l'air surprise mais  me laissa passer.

Quand je fut arriver devant la classe de CM2, je prit mon courage a deux main et ouvrit la porte. Devant moi ce tenais une dizaine d'éléves, assis deux par deux sur des bureau de bois vernis. Lamaitresse me regarda, fronca les sourcils puis son visage s'écléra.

- Ha oui viens ici Oscarette, je vais te  présenter. Alors voici Oscarette....

-Oscar Sertuy, c'est mon nom et figurer vous que je suis un garçon ! Coupai-je séchement. Je ne tolairai pas qu'on me traitre de fille !

Toute la classe éxplosa de rire sauf, je remarqua un garçon qui n'avait paq l'air de trouver ça drôle. Il me regarda l'air désolé..

- Arrétez ! Laissezl e tranquil, il n'a rien fait ! Ce n'est pas grave Oscar, ils son fous !

Le silence s'habbatit aussitôt et tous les regards se tournére vers le garcon brun. Celui-si me fit signe de s'assoire a coté de lui. Je m'assit donc et tout les regards se detournérent.

- Bonjour, je m'appelle Ben. Dit-il.

-Ben, c'est ton nom ?

- Oui,c'est mon nom.

14 mai 2018

éxposé naissance tortue luth

                                     NAISSANCE DES TORTUES LUTH

Savez-vous comment naissent les tortues luth ? Non? Et bien laissez moi vous le raconter :

D'abord, les mamans tortues luth vont sur une plage bien choisie et creusent un trou. Puis elles pondent leurs oeufs qui peuvent étre trés nombreux : la moyenne est environ 90 oeufs ! Une fois le travail fait, elles rebouchent le trou et s'en vont. 60 jours plus tard (ou un peu moins parfois) les petites tortues écloses et une à une sortent du trou. Cela peut parfois mettre une journée entiére ! Puis elles partent vers la mer. Ce sont des proies faciles pour les oiseaux et les chiens sauvages. Et dans la mer, elles deviennent proies des gros poissons affamés. Seules les femelles tortues luth vont sur la terre. Alors si vous voyez une tortue luth sur la terre, c'est une fille !

Voici Norrha, une petite tortue luth.

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1 avril 2018

LE BIG BANG DES QUARKS.

Mon éxposé sur le Big Bang et la structure de la matière !

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31 mars 2018

LA GEISHA CHIA ET TURA

                                                                  LA GEISHA   

mercredi 9 mai 1980

J'attends. La pluie commence à tomber et maman me regarde bizarement. Je prends mon courage à deux mains et demande :

- Pourquoi m'as tu emmené ici? Que se passe t-il ? Maman me répond d'une voie tremblante :

- Écoute Chia, nous somme pauvres et toi et ta soeur vous étes sur le point de mourir ! On ne pouvait pas vous garder trop longtemps...

- Attends, tu n'es quand méme pas en train de me dire que tu vas nous vendre, moi et Yoko ? À ces mots,Yoko étouffe un cri. Maman se met à pleurer.

- Je suis désolée...Je...Nous n'avions pas le choix ! Je lui lance un regard d'horreur tandis que mon estomac  se noue.Un char avec une grande cage à barreaux où on aurait pu enfermer trois tigres, arrive. Une dame en somptueux kimono en descend.

- Vous étes Koyota Tunik ? Elle s'adresse à ma mère.

- Oui et voici Chia et Yoko. Elle nous désigne d'un bref mouvement de téte. Je sens les larmes me monter au yeux.

- Je vous donne 250 ? Ma mére hoche la tête. Puis elle se tourne vers moi et Yoko :

- Je suis désolée, mais vous serez en sécurité ! Et on aura 250 youan, de quoi se nourrir pendant 5 mois ! Yoko se jette dans les bras de maman et sanglote :

- Mais alors, on se reverra plus jamais ! Je veux rester avec toi !

Je prends la parole d'une voie chargée de tristesse:

- Mais Yoko a réson ! on va plus jamais se revoir !  Ma mère me regarda Et séche ses larmes.

- Allez y et ne désobeisez surtout pas ! Je regarde Yoko puis a contrecoeur monte dans la cage. Mais ma soeur refuse elle se crampone de toutes ses forces au barreaux de fer rouillé.Je soupire puis tira un grand coup et la mis au font de la cage. Je fesais sa par ce que maman avait réson ; notre famille poura mieux vivre sans nous. Et puis on sera en sécuriter, la dame avait l'air riche.Yoko se mit à sangloter de plus belle. Puis la voie de la dame nous fit sursauter:

- Silence dérriére ! On est bientôt arrivé !  En effet, le bruit de la ville se raproche. 3 minutes plus tard, la dame ouvrit la cage. On est arrivé dans une gare. Elle nous poussa sans un mot dans un train et s'assit dans un siége elle nous regarda.

- Le tragé ne sera pas long mais tener vous tranquile. Yoko se planta alors devant la dame et cria:

- Je veux retourner chez moi ! Laissez moi partir retrouver ma famille !

Je la stopa d'un geste et murmure a son oreille:

- Yo, elle a raison on sera en securiter ! Yoko me scruta d'un regard noir puis, elle essuia ses larme.

- Ci, tu ne as méme pas ou on va aller...

- Il suffit de regarder par la fenétre jeune  fille !  L'interomp la  dame. Yoko se pencha à la fenétre.Je fit de méme mais je ne voyais que deux filles avec des coiffures somptieuses,et des kimonos somptieux. Je regarde la dame  incrédule.

- Mais je ne voit rien du tout !  Elle eu un petit rire.

- Si tu vois ! S tu obéit a tout, tu deviendra comme ces jeunes filles ! Tu deviendra Geisha ! À ces mots, le train frena et les portes s'ouvrirent. La dame nous poussa à l'exterieur et nous fit rentrer tout aussi tôt dans une charete tire par un homme en aillons. On traverse la moitier de Kyoto  puis, arrive dans une rue plus sombre. L'homme freine nous decendons et la dame me tire d'un coté et pousse Yoko de l'autre, vers une aurte dame. Je compris de suite et hurle:

- Non ! Laissez moi avec ma soeur ! Non Yoko ! Ma soeur n'eu pas le temps de comprendre,  ont l'entraina déjà dérriére une autre grande porte.Je pousse un grand soupire tandis se que la dame donne un billet au conducteur. Et encore une fois me pousse dèrrière une grande porte. C'est alors que 3 filles en kimono à fleurs acourrurent et lançerent d'un ton joyeux:

- C'est elle la nouvelle ? Elle est trop chou ! Et elles me sautérent dessu. La dame les tiras en arriére.

- Auccuper vous d'elle et expliquer lui tout ! C'est alors qu'elle m'emmenent dans une salle ou il y a des torchons, des ceintures épaises et des brosses en banbou poser sur des tables basses, des dessins de dragons et de cerisiés en fleur sur la tapiserie verte.Je remarqua que le sol est requouver d'un lino blanc. Des meubles de tailles diverse était le long des murs. Une des filles s'aprocha de moi avec un kimono gris et une ceinture marron clair.

- ça c'est un obi. Dit elle en me montrans la ceinture. Et moi je suis HakÏsha. Mais appelle moi Hakî ! Et toi commen tu t'appelle ? Me demande t'elle en m'enfilan le kimono. Je m'éclairci la gorge.

- Je m'appelle Chia. Quand je pourais retrouver ma soeur ? Hakî séra le obi autour de ma poitine et me regarda.

- Jamais ! Si elle est dans une autre Okya, jamais. Désolé Chia. Shakuti a toi ! Une autre fille s'approcha et defet ma tresse. Je sent mon coeur se remplire de tristesse.Je ne revairer non seulement jamais mes parent, mes en plus, ma soeur aussi ? Non se n'était pas possible ! Toute seule sans méme aucun membre de ma famille. La solitude. Je regarda les filles elles, elles on l'air heureuse ! Mais moi, non je ne serai pas heureuse. Tout d'un coup, je me dit que je ne serais pas Geisha.

- C'est bon ! Mitsako à toi ! La voie me fit sursauter le remarque que j'avais les cheveux huiler déméler et ataché en chinion. La troisiéme fille,"Mitsako" s'approche à son tour et me fit enfiler des chaussures étranges.

- ça, c'est des getas. Tu sais la dame qui vous a accompagner avec ta soeur,  tu vas devoir l'appeller Okasan. d'ailleur tu est  arriver en pousse-pousse.Je vous est vuent ! Regard, elle sorti une photo de sa poche. Tu poura devenire comme ça et je vois sur la photo une Geisha encor plus belle que les deux qui longais le train: Elle avait un peinge avec des fauses fleurs de cerisiés et des mini-fougéres peintes en blanc et recouvertes de paillétes. Son kimono été violet pastelle aux manches courtes et bordé de tissu or. Il y avait des pétales de fleurs roses finement peints sur le bas du kimono. Je fini par me dire que je pouvais peut-étre réster un peu ici avant de m'échaper.

- Maintenant tu est une Shuta ! Une apprenti Maiko ! Et une Maikio c'est une apprentie Geisha. Aller maitenant au travail !

Mitsako me poussa vers la porte, me fit prendre un seau d'eau et me fit avancer dérriére une autre Shuta. Elle monta une échelle je l'as suis. Quand elle apersu ma préssence elle dit:

- A tien salut ! Comment tu t'appelle ? Moi c'est Koshi !

- Moi c'est Chia ! Toi aussi tu est nouvelle ? Je versa un seau d'eau dans un grand bac et reparti chercher de l'eau, Koshi sur mes talons.

- Moi je suis arriver il y à 2 jours ! C'est toi qui est arriver il y a 1 heure ?

Je réffléchi.Déjà une heure d'écouler ? Alors un an sera comme 1 moi ! Mais j'avais déjà 10 ans et d'aprés se qu'avais dit Mitsako, on devenais maiko à 15 ans ! alors si 1 ans passe comme 1 ans, je serais maiko dans 5 mois !

- Oui c'étais moi. On rentre à l'école à quelle ages ?  Hakî m'avais dit qu'on rentrer a l'école à un moment. Je n'étais jamais aller à l'école. Koshi me regarda et eu un petit rire.

- Normalement, dans 2 jours. Puisque moi j'y vais cette aprés-midi. Ça vas étre trop trop trop bien ! Houra !

À ces mots, la dame appelle:

- Koshi, Chia venez préparer à manger ! Koshi tu vas étre en retard à l'école !

Koshi m'entraine vers le centre de "l'Okia".Je sentai qu'elle ne voulais pas étre en retard.

 

2 jours plus tard :

 - Chia debout ! Tu vas étre en retard !  Je sentai qu'on me secouais. Puis soudain je me rapella que je devais aller à l'école. J'ouvris les yeux  et vis " Okasan". Je me leva d'un bond lança un vague (bonjour et merci)  puis j'enfile mon kimono et mon obi on m'avais apris comment les mettrent. Je passa un coup de peigne dans mes cheveux et les attache en chignon. Okasan me mit dans les mains quatre livres. Elle me fit traverser l' Okia jusqu'a la porte.

- Les livres son dans l'ordre des cours. Aller ouste ! Me dit elle. Okasan claqua la porte et je me retrouve toute seul dehors.Je ne savais méme pas ou été l'école. Un épais brouillard se glisais dans les petites rues de Kyoto.Il ne fesais pas encors jour. Je regarda autour de moi et vis un paneau marquer ÉCOLE DE GEISHA.Enfin j'avais trouver Mais juste au moment ou je m'appretais a suivre la direction indiquer, j'entendi un grondement sourd. Je me retourna prise de panique regarde à droite a gauche;un tremblement de terre ? Non impossible ! c'était juste l'orage. Je me retourna j'alais étre en retard ! mais je sent bien que se n'était pas l'orage. Tout d'un coup, j'aperçu du coin de l'euil un éclat rouge vif.Je me reretourna tramblante. Je m'aprocha de la rue d' ou avait disparut l'éclat. Et là je me retrouvais devant un Dragon ! Je lacha mes livres et faillit tomber dans les pommes. J'était trop térorriser pour crier donc je ne put que fixer la béte avec horreur. Elle était rouge vif avec de grandes griffes en or, des yeux oranges fluo et des colliers couleurs argent, bleu et dorés. Je remarqua aussi qu'il avait un tatouage Marquer de la méme couleur que se griffes" Turanayia". Quand j'eu le courage de parler je dit aussi tramblante qu'une feuille :

- Bon...Bonjour Tur..Turanayia...J...Je suis... Je suis Chia. Je souffla un grand coup avant de prendre mes jambes à mon coup ratant de 3 centimétres une boule de feu qui frola quand méme mon kimono laissant une trace noir,je pris la direction de l'école zigzaquant entre les rues et me retrouva devant le portail de l'école je le franchi sans ésiter rentra et fonça vers le plan de l'école tout en hurlant. Des tétes  sortirent par l'entrebaillement des portes en me regardant comme si j'était le Dragon.Je m'arréta  devant le plan de l'école. Un professeur s'approcha de moi.

- Pourquoi fait-tu un telle bruit ? Il y a des gens qui travaillent ici ! Et pourquoi a tu ça ? Le professeur désigna la trace noir sur mon kimono. Je ne pensait pas que c'était une bonne idée de leurs dire que je m'était retrouver devant un dragon.

- J'ai été attaqué par des gamin de rue ! Et il m'on fait tombé dans du charbon ! menti-je. Mais je risque d'étre en retard a mon cour. Au faite, je m'éxuse pour le bruit.

- Pas si vite ! quelle est le nom de ton Okya ?  Oups ! Si Okasan aprener ça, j'alais me ramaser un bon coup de fouet !

- Heu... Bon mon Okya s'appelle "La fontaine de la geisha". Avec un peux de chance, Okasan m'éparniera.

Mais non ; Le soir venu elle me fit coucher a plat ventre tapa avec son fouet trés fort. Je poussa un long cris de douleur. Hakî vena me chercher en murmurant (désolé, ta chambre est préte) car les deux nuits d'avant j'avais dormit dans la cave. Quand je rentras dans ma chambre, je vis qu'on avait installer mes livres de cours dans un grand meuble en  boit vernie et que mon lit était enfaite un matelas dans un coin de la petite piéce avec une couette rouge.

-Y a-t-il une fenétre quelque part ? Hakî leva les yeux vers moi et designa un rideau vert acrocher a une bar fixer dans le mur. Appenne eu-je le temps de me retourner qu'Hakî c'était ennaler. Un petit carnet posser sur la petite table à coté de mon lit, attira mon attention.Il était en carton. Je remarqua qu'il y avait aussi un petit pinceau et de l'encre. Et j'en fit mon journal intime. Mais, au moment ou j'alais m'endormir, j'entendit un bruit semblable a selui du Dragon Turanaya. Ho non ! je couru a la fenétre et vis ue boule de feu rater de peu ma fenétre. je l'entrouvris et la referma aussitôt: Le Dragon me regardais. Je m'apprétaita hurlé quand une voix réssona dans ma téte :

- Chiiiiia ! N'est pppas peurrrr ! Je suis lààà pour t'aaaider a devenireeee Geishhha ! Je n'en croyais pas mes yeux et mes oreille: non seulement un dragon, mais en plus, un dragon qui parle ! Je sentais la peur me nouer la gorge comme un serpent qui étrangle sa proie.

- Je...Je suis en train de révé n'est-ce pas ? bégay-je.Je réspira un grand coup pour éviter que mon coeur explose.

- Non tu ne réve pas ! Tu m'as bien vus avant d'aller à l'école ?

- Oui et d'ailleurs, accose de toi je me suis ramasser un grand coup de baton ! Le dragon bougea un peu gener.

- Désolé ont en repparlera un autre jour. Et il s'ennala. Je retourna dans mon lit en me disant que j'alais peut-étres me réveiller.

                                                 mardi 15 mai

 

Maintenant, je connais le chemain de l'école et je connais aussi bien Turanaya "Tura". Elle "parce que c'est une fille"Voulais vraiment m'aider à devenir Geisha et elle m'a redener espoire. En plus, la prof de sérémonie du thé m'a dit que si j'arivais un peu en avance, je verais peut-étres voire Yoko ! Alors je rajusta mon kimono mis mes getas et pris meslivres de cours puis je fonça vers la porte de l'Okya. arriver a l'école, je pris la diréction de la salle de math. J'était devenu trés forte en math. Je m'assi à coté de Koshi essouflé. La prof "Madame Bish" nous regardére toure a toure. Nous n'étions pas nombreuses juste six.is

- Bien, bien fesons l'appelle. Tika ? une main se leva au font de la salle. Masha ? Une autre main se leva. Et inci de suite. A la fin du cour, je me dirija vers la salle de danse. Ensuite vers la salle de musique, la salle d'art de la conversation et enfin a la sérémonie du thé en disant à la prof d'"AC" que je devais aller au toilette. En arivant devant la porte, j'inspira longuement puis ouvris la porte impasiente de peut-étre voir ma soeur. Mais en ouvrant je ne vit que la prof et pas de petite fille me sautant au cou.

- Yoko n'est pa là ? demand-je, Elle est déjà reparti ?

- Si, si. la prof se rapprocha de moi et murmure. Mais elle ne  sais pas que toi tu est là. Elle est au toilette. La prof désigna une porte au fond de la salle. a ses mots la poigné de la porte bougea et Yoko ouvrit la porte. Elle fronça les sourciles a la vue de sa soeur.

- Qui-est-ce ? Elle resemble a ma soeur en plus grande et plus soignée.Hein Madame, qui-est-ce ?

- C'est ta soeur Yoko, c'est Chia c'est ça la surprise. Yoko inclina la téte contrarier.

- Quoi ? Ce n'est pas ma soeur ! Elle est trop...

- Yoko ! Je t'interdit de dire ça ! J'ai juste grandit, et d'ailleure toi aussi ! Tu en veux une preuve ? Par exemple, notre frére est mort le 24 février. Et ont avait inviter oncle Shako ! Alors ?

- Chia ? Alors c'est vraiment toi ? Je ne penser pas te voir. J'aurais préféré que la surprise soi un truc du jenre que je vais devenire Maiko ou que j'ai eu 23 sur 20 en sérémonie du thé !

Là je sentit bon coeur faire un bond dans ma poitrine j'éclatas en sanglot et sorti en courant de l'école avec une main tenant mes livres et l'autre devant mon visage. Arriver devant l'okiya, je franchi le portail sans réfléchire et ne pris pas le temps de saluer Hakî qui c'était écarté en me voyant arriver surprise. Je monte dans ma chambre et me précipite sur mon journal pour tout raconter ça. Pourquoi ma soeur avait réaji insi ? Que s'été t'il passer, j'avais fait quelque chose de mal ? J'était bien désider a avoir des éxpliquations. Alors j'arracha une page de mon journal intime pris de l'encre verte et écris:

Yoko,

C'est Chia ta soeur. Souvien toi, la dérrniére foie qu'on c'est vu, tu a dis clairement que tu n'été pas contente de me voir et que tu préférais autre chose. Pourquoi ? Que-je fait ? Cela fesais lomptemps que je voulais te voir. J'ai été trés déçu. Ho Yoko j'en ais encore les larmes aux yeux !  Alors s'il te plait répond moi je t'en suplie...

Chia, ta soeur.

C'est alors que j'entendis une voix. Une voix de Dragonne :

- Chia...Qu'écris tu ? T u as l'air triste.... Dis moi tout ! 

Je soupira et raconta tout a Tura. A la fin de l'histoire la dragonne me toisa.

- Allons Chia, elle te répondra je suis sur que sa passera vite ta soeur a quelle age déjà ? 7 ? Hé bien elle est petite c'est normal !

Je n'en été pas sur. Pour moi en tout cas se n'était pas normal. Je savais que Tura chercher a me changer les idées et me remonter le moral.

- Demain il y a le nouvelle an japonais. A mon avis tu devras te lever tôt pour t'abiller traditonellement et pour faire le repas des geishas. Tu ferais mieux de te coucher tôt !

Soudain, j'u une superbe idée. Ho mais je n'étais pas si béte ! Je couru chercher la lettre pour Yoko et la tendit a Tura. 

- S'il te plait donne là a Yoko je suis sur que tu sans comment faire. Et oui je vais me coucher !

Le landemain a 05 h 30  du matin...

Hakî me  secoue en me disans tout bas :

- Chia...Debout c'est le nouvel an aujourd'hui ! Il faut te réveiller pour t'abiller et préparer le repas des geishas.

Donc Tura avait réson : je devait  me réveiller vite pour faire tout le travaille. La journée sera  longue ! Décidement, le métier de geisha demandait beaucoup de de travail et de pérceverence. Mais de toute façon, je ne pouvais plus démissioner a pare en m'échapans par les touts rugeux ou en allant a l'école mais se serai au peril de ma vie pour toujour: je serais rechercher, poursuivit et je n'ai aucune idée de oû  se trouve la petite chaumiére de mes parents. Bon voilà impossible de démitioner ! Je me mit donc debout saluat la Maiko et fit mon lit.

- Comment se passera la journée ? J'imagine qu'elle ne sera pas calme vu l'heure a laquelle tu me réveille ! Dis-je d'on ton le plus détacher possible.

- Efectivement elle sera bien charché. Mais se n'est pas pour n'importe quoi ! Aller viens j'ai un kimono qui t'irais trés bien !

Je suivi Hakî dans la piéce ou elle m'eméne tout les matin pour m'abiller. Shakuti était la ainsi que Mitsako, les premieres maikos qui m'avait transformer. Alors Mitsako se jeta sur moi en murmurant  quaiment

- Ça y est je suis geisha ! Mais j'ai quand méme envie d'aider les filles a te préparer, j'aime bien faire ça.

Je remarqua qu'elle avait un joli kimono violet avec des fleurs et un obi vert émeraude. Je regarda Hakî voulent dire ( Alors comment on fait ?)Mais je n'ue pas le temps la maiko me mesura avec un long métre écrivi les résultas sur un petit calepin rouge.Puis, elle me designa une porte au fond de la piéce.

- Vas te laver tu sens le poisson et tu est pleine de crase ! Mais fait vite il ne faudra pas tardé pour te mettre au travail.

Je poussa donc la porte et fut surprise par la fummée et la chaleur qu'elle enfermait je vis aussi que l'espace etait tout petit. Il y avait un bassin au milieux et a coté un grand seau. Les deux été rempli d'eau et la fummée chaude venait du grand bassin remarque-je toute en me désabillant. Une foie préte, comme le petit bassin semblait contenire l'eau froide, je plongea dedans curieue d'en connaitre la température. Je regretta aussitôt d'avoir plongé: l'eau était complétement glacial. Je poussa un petit cris a la foie accose de la température du bassin, a la foie parce que je santais quelque chose de gluant au niveau de mon genou. Je le pris et decouvri avec soulagement que c'était un petit savon a base d'algues vertes. Il était la pour se nétoyer plus efficasement comprie-je. Donc, je m'en tartina le corp. Aprés, je descendie prudament dans le bassin qui cette foie était chaud. Je m'affala contre un coin et faillis  m'endormir quand la voix d' Hakî appela:

- Chia dépéche toi nous n'avons plus beaucoup de temps ! Tout est prét il faut que tu vienne !

Je sorti du bassin et m'essuilli avec un torchon caché dérriere la bassine froide. Me couvrans de mon obi, mon kimono dans une main, mes getas dans l'autes, je sorti et me laissa débaraser par Shakuti. Hakî m'enduis le corp d'uile noir colante et désagréable.

- A quoi l'uile serre ? Elle est pas agréable.

- Pour commencer, si tu veux étre geisha apprends a parler comifaux tu doit dire ( A quoi cette huile serre-t-elle ? Elle n'est pas agréable) et ensuite, c'est la tradition de s'enduir d'huile noire au nouvel an, a porte chance et patience. Répliqua la maiko en m'enfilant un kimono gris a cole blanc. Elle serra un obi jaune et pris un deuxiéme kimono rouge  a dessins or representant des dragons. Et compléta le tout d'un obi bleu marine avec de jolies flammes orangées. Elle me fit asoire sur une chaise et Shakuti commenca a me laver les cheveux. Pendant ce temps, Mitsako s'agenoy grasieusement devant moi.

- Ton emploi du temps sera simple : Tu prépare le repas des geishas avec Koshi et la cuisiniére, tu accompagne les geishas faire leurs courses, tu mange et l'aprés midi, tu vas avec Hakî, Koshi et une autre Shuta chercher des lanternes et vous vous rendez sur la grande place pour la sérémonie. Et se fut exactement se qui se passa. Je suis épuisé quand jefait se résumé ! Donc au lit !

Vendredi 3 aout  1982

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire pour mes treize ans. Métons au poin: Shakuti et Hakî son devenues geishas, Koshi, maiko et moi dans trois mois je le serais ! Je m'imagine déjà en beau kimono de soie ! Mais Okasan m'as complétement démotiver pour devenir maiko, il faudra passer une journée d'évaluation devant les professeurs pour qu'ils dissent si je peux étres maiko.  Mais, c'est mon anniversaire le plus important ! Hakî, Shakuti et Mitsako, m'on offert un gateau qu'on est censer avoir a tout ses anivrsaires a l'amande, au sucre,  et au riz. Mais Hakî avait tenu a me faire un vrais cadeau de sa part. Par contre jje ne le verait que quand je serait maiko !Je me demande ce que a peut bien étres !  En attendant, l'on m'a donner quelque chose a faire les week-end : Accompagné les geishas et maikos a leurs rendez-vous et par foie, j'ai l'honneur de nourrire les oreilles de leur clients a l'aide de mon shamisen. Tout le monde dit que j'en joue trés bien ! Ducoups, aujourd'hui a l'école j'ai eu que de compliments de la pare des profs et des éléves. Et ça c'est a peu prés arrangé avec Yoko enfin pas pour moi... Elle a dit que son seul but maintenant c'était devenir maiko puis geisha et étre super célébre. Donc, elle m'as dit qu'elle n'avait besoin de moi. Je suis écroulé ! Heureusement que j'ai aussi envi de devenir maiko.

Mardi 28 novembre

- Chia vite révéille toi ! c'est un grand jour pour toi aujourd'hui: tu vas étre maiko !

Je me leva en sursaut et découvri Koshi. J'avais complétement oublier ! Comment aurais-je pus ? Je me leva le plus gracieusement possible en toute hate et  regarda Koshi: elle était surement huilé sous ses quatre couches de kimonos. Celui qui était visible était bleu de mer et blanc décoré de plumes noires. Je lui sourie.

- He bien maintenant je vais te ratrapper ! Alors  tu sais comment ça va se passer ? J'ai trés hate ! Dis-je joyeusement. Koshi aucha la tête et me fit signe de la suivre. Comme d'habitude, je me retrouva dans la piéce pour m'abiller mais cette fois si, une autre maiko était là. Je du passer par la piéce de lavage ou je ne m'atarda pas trop lomptemps presser de devenire maiko.  Une fois sortie, Koshi me tartina de la méme huile que le jour du nouvel an et me passa un kimono gris puis un marron les attachent tout deux de obis jaunes identiques. La touche était un kimono rose a pétales blancs accompagné d'un obi bleu claire. Ensuite la deuxiéme maiko s'avenca grasieusement une grande trouse a la main et en sorti une brosse. Elle me brossa donc les cheveux, les huila et enfin les attacha en somptieux chignon. Je sorti trois minutes plus tard pousser par Koshi.  J'aitais ravie ! Okasan m'attendais devant une table. Koshi me fit asoeir et disparu.

- Aujourd'hui, tu vas passer la premiére étape pour étre maiko: Tu pasera des sortes d'examens devant tes professeurs et si ta note est au dessu de dix sur vingt, tu entamera ton mois de Sarmaiko.

- He bien ! Je sens que sa va étre pas si facile...Au faite quelle est le nouveaux nom de Koshi ? Demande aije éxsiter.

Okasan m'avait expiquer qu'on vchangé de nom quand on devenait maiko.

- Elle s'apelle Akemi. Ça veux diire belle et inteligente. Pff et moi qui est Anko !

- Quoi ? Anko sa veux dire...Ténébre ! dis-je, horifiée. Votre nom est Ténébre !

A se moment précit, une petite Shuta arriva et dirija son regard sur moi.

- Ondemande a voir une sertaine Chia Tunik.

Okasan fronça les sourcils eu l'air de réflechir, puis, me poussa vers la porte en me fesans signe de faire attention. Moi, j'éspérais que c'était ma soeur ou mes parents qui venait me rendre visite. Mais comment aurait-ils pu trouver l'Okiya ? Donc se pouvait étre Yoko. Mais non, je me retrouva fase a un monsieurs avec une fille d'a peu prés mon age et un petit garçon. J'inclina la tếte....Ils  me disait quelque chose....

- Salut, c'est bien toi Chia Tunik ? Tu devrais te souvenir de nous, non ? Demanda le petit garçon. Puis soudain, je me rapella c'était mon oncle et mes cousins ! Je fixa tour a tourle petit garcon aux cheveux trés noir,la jeune fille aux yeux bleu et aux épaises nattes marron et mon oncle qui avait a présant les cheveux blanc.

- Kalani,  Akihiko ? C'est vous oncle Shako ? Ou est Shane ? Elle n'est pas venu ?

Je n'eu pas le temps de dire quoi que se soit d'autre, Kalani me sauta au coup avec joie (contrerement a Yoko) et Akihiko fit de méme.

- J'ai cru qu'on allait jamais te retrouver !Commenca Akihiko. Mais malheureseument, se n'est pas une bonne nouvelle qu'on t'apporte. Je ne sais pas si on doit vraiment te la dire...

- Bon on va faire simple. Coupa Kalani. Je sais que ça fait un choc mais voilà...Ton papa et ta maman son...

- Mort. Términa Akihiko. Je cru que j'alais tomber dans les pommes. Papa et maman morts ? Ce n'était pas possible ! Je ne perdit pas une seconde, de peur de m'évanouire: je changa de getas et me précipita dehors ou je monta sur le cheval que mon oncle et mes cousins avait utulisés pour ariver. Je me souvenai a peut prés comment cheveaucher un cheval. Si on voulai me faire croire que mes parents était morts, il faudrais me le montrer ! Je donna un coup de pied dans le ventre de l'étalon et celui-ci se mit a avancer. Je mit un autre coup cette fois si plus fort et il galopa. Dix minutes plus tard, les bruits de la ville s'éloignait et le décord changait petit a petit. Je sentais déjà les larmes couler sur mes joues. Fait que mes cousins on tort ! Mais arriver devant ma maison, je mm'écroula par terre: elle était détruite, brulée et il ne restait que quelque bout de murs écroulés. Je remarqua difficilement les deux pierres dréssées accose de mes larmes qui me brouillait la vue. Je m'en approcha et vu que c'était les tombes de mes parents. C'est alors que des larmes, par centaines jairs de mes yeux comme de la magie.

- Chia ! Résona une voix dans ma tête. C'était Tura. Alors le décord changa et je me retrouva comme au paradi: sur des nuages rosés et orangés par les dérnier rayons du soleil. Tura était la, en face de moi.

- Tes parents son morts, mais a présent, tu es Maiko.

FIN

12 mars 2018

Rando pour la Planète sous le Mont-Blanc

septembre 2017 176

VOIÇI QUI ? VOIÇI LE MONT-BLANC !

 

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